Utilitaire de 19m3 : caractéristiques et devis

UTILITAIRES

Le véhicule utilitaire de 19 m3 est sollicité pour transporter des charges encombrantes. Il est utilisé lors d’un déménagement ou le port d’une marchandise légère. Un conducteur qui prévoit l’achat d’un utilitaire prendra en compte divers critères. Pour financer son projet, il a la possibilité d’envisager le prêt ou le leasing. Le choix dépendra encore de nombreux facteurs. D’ailleurs, il sera amené à opter entre un utilitaire d’occasion ou neuf. Il existe autant de questions qui méritent une réponse.

utilitaire 19m3

Caractéristiques de surface

L’utilitaire de 19 m3 est généralement un fourgon sur plancher cabine. Il est équipé d’un seuil de chargement. Pour ce faire, la caisse a été élevée au niveau du plancher. L’élément sera abaissé au moment de monter les marchandises lourdes dans la cellule.

La longueur utile est de 4,10 m en moyenne. De son côté, la largeur utile est de 2,10 m. La dimension découle de la marque et du modèle. Le véhicule est affiché avec une hauteur de 2,20 m.

Elle peut transporter une charge utile de 590 kg en disposant d’un hayon élévateur. Si elle n’était pas équipée de ce dispositif, la charge utile atteignait 1.100 kg. La garde sol est de 57 cm. Il s’agit de la distance entre le véhicule et le sol. Plus elle est élevée et plus le véhicule franchira aisément un obstacle. Le fourgon est équipé d’une capucine. Son rôle est d’accroître la capacité de chargement. Elle formera aussi un déflecteur.

Les conseils pour bien choisir un utilitaire

L’acheteur choisira l’utilitaire en fonction de son activité. Le fourgon est destiné à acheminer des marchandises peu encombrantes vers un site. Les articles à transporter fréquemment doivent également correspondre à la charge utile.

Un utilitaire de 19 m3 peut fonctionner à l’aide d’un moteur thermique ou un bloc 100 % électrique. Le transporteur basera son choix sur la distance qu’il devra parcourir au quotidien.

Pour les longs trajets réguliers, les voitures à carburant constituent la meilleure alternative. Elles sont puissantes pour garantir la rapidité d’une livraison. Toutefois, les voitures électriques s’affichent aussi comme un concurrent de taille. Elles sont moins rapides sur les autoroutes. En revanche, elles comblent leurs lacunes avec l’aspect économique. Elles sont par exemple épargnées de l’achat de carburant. Elles conviennent pour les déplacements dans une grande agglomération. En sortant de la ville, elles restent intéressantes du moins pour un trajet de 100 km.

Les voitures électriques proposent une autonomie basée sur la capacité de la batterie. À noter que l’autonomie peut changer en cours de route à la suite de nombreux facteurs. Il y a notamment les problèmes climatiques qui réduisent la capacité. L’autonomie peut augmenter en adoptant un mode de conduite spécifique. Les véhicules électriques sont par exemple abondants pour intégrer la fonctionnalité économie d’énergie. Il est également possible de compter sur l’énergie récupérée lors des phases de décélération. En utilisant une voiture électrique, le conducteur est soumis à différentes contraintes parmi le temps de recharge.

Un utilitaire présentera idéalement un plancher antidérapant. Le revêtement deviendra ainsi résistant contre les chocs. La surface limitera d’autant la mobilité des articles à l’intérieur de la caisse. Dans un souci de confort, il est aussi recommandé d’opter pour des véhicules équipés d’un dispositif d’aide aux conduites.

Par ailleurs, le conducteur doit sélectionner un véhicule en fonction de la réputation de la marque. Mais attention, car il existe des marques méconnues qui cherchent à se frayer un chemin dans le secteur automobile. Elles proposent alors des voitures de qualité. Pour connaître la fiabilité d’une enseigne, il faut se référer aux avis d’autres consommateurs.

L’achat neuf ou occasion, crédit ou leasing ?

L’achat neuf est souvent sécuritaire. En effet, tous les constituants du véhicule sont neufs. Le constructeur est encore responsable des réparations durant la période de garantie. Elle court jusqu’à une dizaine d’années. L’investissement dans le neuf allège le coût d’achat. Le conducteur accèdera par exemple à des aides financières ou aux prêts. Il s’agit même d’une condition d’éligibilité. Une voiture de première main est facile à vendre. L’entrepreneur peut réutiliser le montant perçu pour l’acquisition d’une nouvelle version d’utilitaire. Il apportera juste les fonds supplémentaires.

L’achat d’occasion est connu pour être à moindre coût. Les voitures d’occasion subissent une décote d’année en année. Le prix revient donc à trois fois moins cher après quelques années. Puisque la voiture est déjà en circulation, l’acheteur pourra tout de suite l’utiliser. Au contraire, la voiture neuve n’est pas tout de suite livrée.

Les voitures d’occasion sont déjà aménagées pour se conformer aux réglementations du métier. Une aération est par exemple visible pour le transport de produits chimiques. Le nouveau propriétaire économisera alors sur les travaux de mise en conformité.

Le prêt bancaire est accordé à un particulier ou une entreprise demandeur de crédit. L’emprunteur s’acquittera de la capitale empruntée en complément des intérêts avec une mensualité. Cette dernière est souvent élevée en fonction des taux pratiqués. Après l’achat, le véhicule devient la propriété de l’emprunteur. Il est alors responsable de la souscription à l’assurance ou les entretiens du véhicule. Pour une entreprise, le prêt est une dette qui viendra se greffer dans son bilan comptable.

Le leasing est une opération financière qui engage trois parties. L’entreprise contacte une banque pour acheter le véhicule, car elle n’a pas les fonds requis pour l’opération. L’établissement de crédit communique à son tour avec un vendeur. La banque paye l’intégralité de la valeur du bien, elle est alors la propriétaire. Le particulier loue par la suite l’utilitaire sur le long terme. Le loyer mensuel est déduit de la valeur du véhicule jusqu’à l’effacement de sa dette avec les intérêts.

Le leasing est accompagné d’une option d’achat. Cela signifie que le locataire peut posséder l’utilitaire à la fin du contrat. Durant la durée de location, le propriétaire (la banque) s’occupe de l’entretien et l’assurance selon l’avenant.